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Les surfaces de nos eaux sont exposées au grand soleil, d'énormes quantités de vapeur en montent et commencent à bouger selon les directions de vents, créent des nuages et dépendant de température, développent soit des cristalles soit des gouttes d'eau qui tous nous tombent dessus en forme de pluie.   On nous le sert ce cercle, ceci surtout sur les mers tropiques où on sent fortement ce phénomène de convergence. Toute émission semble donc nous être retournée si on le veut ou non, si on l'aime ou pas, sans doute rien n'est 'perdu'.  Le cercle éternel d'évaporation est alors peint ici, montant à partir des surfaces gigantesques des océans ensoleillées et descendant du large des cieux en forme de pluie, de grêlons ainsi que de flocons de neige, en quantités augmentantes. L'homme a su profiter de la vapeur et aimant bien tout progrès, il a développé non seulement des machines à vapeur, mais des salines, des distilléries -sur base du géranium comme vu sur La Réunion- par exemple, utilisé pour en extraire des huiles et essences médicinales et cosmétiques. De telles observations sont montrées dans cette série de tableaux. 

"Alles will ans Licht"(tout veut monter à la surface)
acrylique/pigments sur toile, 2016, 100 x 80 cms